Pandobac, un maillon essentiel dans la restauration zéro déchet

Pandobac, un maillon essentiel dans la restauration zéro déchet

Anaïs Ryterband, co-fondatrice de Pandobac, nous dresse le portrait de cette belle aventure entrepreneuriale. Pando ? C’est  la plus vieille colonie d’arbres au monde… à préserver !

Anaïs Ryterband, co-fondatrice de Pandobac

Contacter Pandobac

Fanny Van Themsche

Relation restaurants et commerces

0760355123

[email protected]

Qu’est-ce que Pandobac ? Pourquoi avez-vous créé Pandobac ?

Pandobac est une société créée en 2018 par trois associés : Roch Feuillade, Anaïs Ryterband et Shu Zhang. L’idée est née d’un constat de Shu, qui avait fondé précédemment un restaurant à Paris (Maguey, Paris 12) : chaque jour, les fournisseurs livrent les restaurants en marchandises alimentaires dans des emballages de transport jetables. Cartons, cagettes et polystyrènes viennent envahir les poubelles des restaurants et finissent en grande majorité incinérés ! En plus de mobiliser des salariés sur des activités à faible valeur ajoutée, ces emballages contribuent à l’exploitation des ressources naturelles et à l’émission de gaz à effet de serre.

Pour répondre à ces problématiques, Pandobac propose des solutions concrètes de réemploi d’emballages. Cela se traduit par une offre opérationnelle pour les fournisseurs et les grossistes composée de 4 services :

  • location de bacs adaptés à livraison de produits frais : Pandobac travaille avec des fournisseurs de bacs pour proposer des bacs adaptés aux différentes catégories de produits (poissons, fruits et légumes, crèmerie, viande, boulangerie).
  • suivi de bacs : afin de limiter la perte des bacs, il est essentiel de pouvoir suivre les stocks de bacs entre les fournisseurs et les points de livraison. Pour cela les bacs sont équipés de QR codes et Pandobac a développé une plateforme en ligne pour les scanner.
  • lavage des bacs : Pandobac opère un centre de lavage à Rungis et travaille avec un réseau de partenaires en France pour assurer localement les besoins de lavage et assurer la réutilisation des bacs dans le respect des règles sanitaires.
  • collecte : Pandobac répond aux besoins de collecte des contenants en travaillant avec un réseau de transporteurs.

Enfin, Pandobac accompagne les entreprises et les collectivités dans leur passage des emballages à usage unique vers des emballages réutilisables à travers des missions de conseil.

Le tunnel de lavage, pierre angulaire du système.

à droite : les bacs sont tracés.

Comment ça se passe pour un restaurant qui souhaiterait intégrer Pandobac ?

Sauf dans le cas de restaurants qui utilisent des bacs en interne et qui voudraient les suivre, la solution Pandobac est vendue aux fournisseurs. Un restaurant qui souhaite être livré sans emballage jetable peut donc faire deux choses :

  • contacter Pandobac pour communiquer le nom de ses fournisseurs afin que les équipes de Pandobac rentrent en contact avec eux.
  • parler de Pandobac à leurs fournisseurs pour que ces derniers soient au courant des attentes de leurs clients en matière d’emballages.

Quelques noms de fournisseurs avec lesquels Pandobac collabore déjà : Transgourmet (Seafood et Fruits & Légumes), Armara, Vergers Saint Eustache, Primeurs Passion.

L’équipe Pandobac en 2018, Lauréate du Réseau Entreprendre Val de Marne

Combien ça coûte ?

Les livraisons en bacs de transports réutilisables Pandobac sont gratuites pour les restaurateurs ! La logique derrière cela est simple : ce sont les fournisseurs qui achètent les emballages et ce sont donc eux qui souscrivent au service Pandobac.

La location et le suivi fonctionnent avec un modèle d’abonnement mensuel. Le lavage est facturé en fonction du nombre de bacs lavés. •

Renaud ou le numérique responsable

Renaud ou le numérique responsable

Par Renaud Héluin

NovaGaïa 

“J’ai trouvé l’atelier du numérique responsable très complet ! J’ai en effet apprécié pouvoir mesurer l’impact de notre consommation dans ce domaine via les données chiffrées qui ont été présentées, (…) mieux comprendre les étapes et les enjeux qu’il peut y avoir derrière le cycle de vie de la fabrication d’un produit ou encore repartir avec des conseils concrets et faciles à mettre en place pour changer certaines de mes pratiques. En dehors du contenu, j’ai aimé que les animateurs nous poussent à participer tout le long !Leila S.

Chargée de RH, Gestion de Projets

Renaud Héluin est le créateur/slasher de NovaGaïa, agence en écoconception web, (re)organisation et développement responsable. Il nous raconte comment il a réorienté son métier vers la transition écologique des services numériques.

« Pour la petite histoire et poser le contexte, j’ai eu la fibre écologique très tôt ! Elle m’a été transmise par un grand-père très proche de la nature qui m’a inculqué à ne jamais écraser un insecte lors d’une balade en forêt ou en randonnée et à prendre le temps de regarder pousser un champignon! C’est ainsi que, tout naturellement,j’ai voté écologique quand j’ai reçu ma première carte d’électeur.

 

Le temps a passé et j’ai un peu perdu de vue ces valeurs. En 2019, je me suis brutalement réveillé quand j’ai pris conscience de l’état de notre Terre aux travers de rencontres, des rapports du GIEC, des publications du Shift Project* et en visionnant des conférences de Jean-Marc Jancovici ou de Pablo Servigne… Ce déclic a orienté ma quête, me conduisant à m’interroger : comment faire ma part, personnellement et professionnellement, pour préserver notre planète ?

Je ne vais pas me faire des amis en disant cela, mais Il m’apparut clairement que je ne pouvais plus travailler pour des entreprises de services numériques (Les ESN, anciennes SSII) qui, loin de préconiser la frugalité et la juste réponse aux besoins, s’acharnent à vendre un maximum de fonctionnalités en vantant l’usage de dernières « stacks techniques.

Bref, arrêter de se faire plaisir et prendre garde aux conséquences de nos actes sur notre bonne vieille Terre !

J’ai suivi le programme Mon job de sens pour me retrouver en accord avec moi-même et identifier mes forces. J’ai ainsi pris conscience que je n’étais pas seul à rencontrer ces préoccupations et qu’il existait quantité de moyens pour allier à la fois activité professionnelle, convictions et respect de l’écologie !

J’ai donc quitté le cocon des ESN pour lancer une entreprise ayant comme objectif de limiter les dégâts sur la nature et d’améliorer le travail des salarié.es.

J’accompagne ainsi les TPE/PME dans leurs évolutions grâce à la mise en place d’outils informatiques, de process, d’organisations/réorganisations – il n’est jamais trop tard pour mieux faire – pouvant simplifier la vie des salarié.es, les rendre plus efficaces et plus heureux dans l’exécution de leurs missions.

J’ai validé mon expérience acquise au cours d’une vie professionnelle riche en me formant et en me faisant certifier par le GreenIT** pour la partie numérique responsable et ailleurs pour l’accompagnement d’entreprises.

Aujourd’hui, j’effectue des audits et du conseil tout en assistant entreprises et entrepreneurs sur ces deux facettes de ma nouvelle vie.
Je réalise de sites web, des boutiques en ligne en respectant autant que faire se peut l’éco-conception, une production responsable et “propre”. Je travaille tout autant avec des acteurs à impact, qu’avec de nouveaux entrepreneurs qui se lancent et qui ont aussi bien besoin d’un site que d’aide pour appréhender un monde numérique en constante évolution et à faire les choix correspondant à leurs exigences.

Avec Déclic Ecologique, nous avons choisi d’ancrer cette démarche au cœur des entreprises en proposant des ateliers d’intelligence collective sur le numérique responsable. Le but : sensibiliser les participants à l’impact écologique du numérique et chercher avec eux comment, chacun à son niveau ou au niveau de l’entreprise, il est possible de réduire l’impact écologique.

Mon déclic m’a fait faire un pas de côté pour voire comment je pouvais être aligné entre mes valeurs de préservation du vivant et ma vie pro. Et donc voilà comment est né NovaGaïa. »

*The Shift Project est un think tank qui oeuvre en faveur d’une économie libérée de la contrainte carbone.

**L’Alliance Green IT est l’association des acteurs engagés pour un numérique responsable.
***L’atelier numérique responsable de Déclic Ecologique et NovaGaîa durent 2h30 avec une première partie de sensibilisation puis un temps de co-construction des solutions pour un numérique responsable propre à votre entreprise et pour finir, les grands principes à retenir. Disponible en présentiel ou en visio.
Les représentants du personnel, nouveaux leviers d’accélération de la transition écologique des entreprises

Les représentants du personnel, nouveaux leviers d’accélération de la transition écologique des entreprises

Par Mathilde DESPAX
Gate 17 

On distingue deux instances de représentation des salarié·es dans l’entreprise : les représentants syndicaux et les élus du personnel (les membres du Comité social et économique (CSE), anciens comités d’entreprise). Ces deux types d’insistance sont les acteurs du dialogue social d’entreprise et portent la voix des salarié·es auprès de leur direction.

Ils sont investis par la loi de prérogatives économiques et sociales, mais leurs échanges avec la direction se développent fortement depuis quelques années sur des sujets relatifs à la transition écologique.

Car la prise de conscience climatique croissante génère la remise en question de l’existence de certains métiers, de nouvelles attentes des salarié·es, le besoin de cohérence de leur vie personnelle et professionnelle ou la nécessité d’une réorientation profonde des activités d’entreprises intrinsèquement polluantes, et donc vouées à se transformer (Transport, Énergies fossiles, conception de produits plastique…).

Le GATE 17 accompagne et forme ces acteurs pour favoriser leur légitimité dans les échanges qu’ils souhaitent mener avec leur direction ou la mise en œuvre d’initiatives de sensibilisation auprès de l’ensemble des salarié·es qu’ils représentent (alternatives de voyages, cartes cadeaux responsables ou encore ateliers participatifs pour développer ses connaissances en matière de RSE).

Management : motiver vos collaborateur.trice.s sur la transition écologique en les impliquant

Management : motiver vos collaborateur.trice.s sur la transition écologique en les impliquant

Toutes les entreprises, les organisations prennent aujourd’hui part à la transition écologique en réduisant leur impact, voire en ayant un effet environnemental positif. Le type de management peut faire la différence car il est nécessaire d’emmener les équipes avec une vision, et pourquoi pas une mission.

Tristan Duhamel
Fondateur de Déclic Écologique

Les mobilisations pour le climat nous montrent à quel point certain.e.s sont en quête de sens. Autant de personnes qui vont être des relais et des têtes de pont pour le groupe. Il est donc judicieux de faire participer les équipes. 

Alors comment stimuler les salarié.e.s ? 

Les méthodes d’intelligence collective permettent de faire émerger les solutions propres à la structure. Les salarié.e.s sont les mieux placé.e.s pour détecter les pistes d’améliorations écologiques des processus car ils connaissent leur métier, leur service. Ils deviennent ainsi acteur.trice.s de ces nouvelles pratiques et par là-même motivé.e.s pour appliquer ces évolutions et ces changements tant structurels (réglages, équipements…) que comportementaux (éco-gestes). 

Un exemple : dans une entreprise qui organise 100 conférences par an, 12 bouteilles en plastiques étaient entamées et gâchées à chaque fois soit 1 200 bouteilles par an. La personne qui gérait l’eau ne savait pas comment s’y prendre pour éviter le plastique et cela provoquait des tensions en interne avec celles et ceux qui voulaient voir disparaître cette pratique néfaste. Pendant une séance de co-construction avec toute l’équipe, plusieurs idées ont pris corps et la solution retenue a été d’installer un petit évier dans un local attenant puis d’acheter des carafes. Des collègues ont proposé leur aide les jours J. Résultat, des tensions transformées en cohésion, un gain écologique et enfin un gain financier de 600€ dès la 2e année.

Il est possible d’aligner les planètes pour le bien de la nôtre. Un processus qui va créer du team building et insuffler une énergie nouvelle autour d’une problématique bien actuelle. Quoi de mieux pour mobiliser autour d’une cause noble et incontournable qui va renforcer l’attachement de chacun à son entreprise.

Préparons la semaine du développement durable

Préparons la semaine du développement durable

Nous sommes toujours dans une période bien particulière où il est difficile de faire des plans sur la comète. Que nous puissions organiser ou pas des temps de sensibilisation, de co-construction, notre planète, elle, aura besoin que l’on pense à elle. La journée de la terre sera cette année le vendredi 22 avril 2022, la Journée Mondiale de l’environnement 2022 sera le dimanche 5 juin 2022 et la semaine du développement durable se déroulera du 25 Septembre au 2 octobre 2022 (à confirmer car elle à glissée de mai/juin à septembre à cause du confinement 2020). Florilège des actions que nous pouvons mener ensemble.

Conférences

• Le zéro déchet à la maison
Le zéro déchet, un mode de vie vertueux et économique.
• Le zéro déchet au bureau
Le numérique : le dématérialisé n’a rien d’immatériel, adopter comment les bonnes pratiques
Le papier : de fortes marges d’économie ; les fournitures : trucs et astuces, les repas…
• Les écogestes au bureau, à destination des salarié.e.s : l’aspect comportemental
• Les éco-actions structurelles dans l’entreprise, à destination des décideur.e.s
(direction, RSE, QSE, DSI, services généraux…)

Le voyage dans la poubelle

Pendant une heure, une expérience ludique zéro déchet nous conduit à ausculter le contenu de notre poubelle type à la maison et au bureau, et à chercher comment entrer dans une logique de durable.
Cette animation peut se dérouler auprès d’un public captif comme auprès un public mobile comme dans une cafétéria. Elle est disponible en visio ou en présentiel.

L’écolo quizz

Les participants sont répartis en deux groupes qui vont s’affronter. Cette animation ludique et bienveillante propose des questions sur les déchets, l’environnement, la nourriture, l’énergie, etc. Exemples :
• Quelle est la proportion en % des biodéchets dans la poubelle ménagère moyenne ?
• Le logo « Eco-emballage » signifie-t-il qu’on achète un produit recyclable ?
• Combien faut-il de litres d’eau pour fabriquer un jeans ?

Ateliers Do It Yourself

DIY : nous allons apprendre à faire, à fabriquer ensemble, tout en apprenant des notions autour du zéro déchet. Chaque participant repartira avec un échantillon.

DIY • Le bee’s wrap, le couvercle zéro déchet de la cuisine

Fini le film étirable… et jetable ! Bees wrap, de l’anglais bee – abeille, et wrap – envelopper, un simple tissu que nous allons enduire de cire d’abeille en la faisant fondre.
Il deviendra un couvercle de la taille souhaitée ou un étui pour conserver les aliments.

DIY • Mon beau carnet personnalisé en recyclé

Créons de beaux carnets avec du papier de brouillon et d’anciennes couvertures rigides. Chacun personnalise ensuite le sien avec des collages pour lesquels nous les guidons.

DIY • Des paquets-cadeaux originaux, en récup et pliage

Concoctons des paquets-cadeaux en papier journal graphique avec des jeux de plis.

DIY • Le fameux Furoshiki

Emballons vos cadeaux à la manière japonaise avec un morceau de tissus et de multiples possibilités de pliage. Il resservira indéfiniment !

DIY • Le pesto zéro déchet

Cuisinons des verdures défraîchies, des fanes de radis ou de carottes pour en faire un pesto savoureux antigaspi à déguster ensemble.

 

DIY • maroquinerie

Réalisons des objets avec des chutes de cuir 100% récup et sans couture.
• l’atelier Porte-clé
• le vide-poche en cuir naturel
• la petite maroquinerie

 

DIY • la lessive au savon de Marseille
DIY • le déodorant huile de coco
DIY • le dentifrice menthe poivrée
DIY • la vaisselle sans plastique ni toxique
DIY • le fameux tawashi
DIY • la poudre lave-vaisselle

Les carnets en brouillon et collage
Les paquets-cadeaux en récup et pliage
Les paquets-cadeaux en furoshiki
Le pesto zéro déchet et antigaspi

À la carte :
un moment de cohésion d’équipe

 Nous sommes à votre disposition pour inventer et organiser le team building de vos rêves qui a du sens. Par exemple :

Une journée autour du zéro déchet avec concours en équipes de construction de miniserres pour les écoles (cf journée réalisée pour Yves Rocher, 40 personnes)

Un déjeuner festif zéro déchet avec des ateliers l’après-midi (cf déjeuner réalisé pour le Médiateur National de l’Énergie, 40 personnes)

Une journée ludique et enrichissante de séminaire avec 60 personnes (en cours)

• Une matinée de séminaire avec petit déjeuner de produits sélectionnés (local, bio, durable) et grand remue-méninge (cf matinée réalisée pour Yves Rocher, 20 personnes)

Le mini salon zéro déchet

Nous vous proposons plusieurs stands inspirants (de 2 heures à une journée) à choisir parmi les animations et DIY ci-dessous.
Une exposition composée de 6 panneaux explique certaines problématiques environnementales et leurs solutions.
Les participant.e.s peuvent butiner des informations et s’inscrire à l’un ou l’autre des ateliers :
• pratiquer un jeu sur le développement durable
• participer à un atelier DIY (apprenez à le faire vous-même) : dentifrice, déodorant, bee’s wrap, lessive, carnet créatif, up-cycling…
• apprendre la cuisine zéro déchet
• assister à un voyage dans la poubelle
Vous choisirez le nombre de stands selon le nombre de participants attendus.

Innover, élaborer des concepts, et créer de l’interaction avec nos publics pour essaimer cette fameuse transition écologique, voilà ce qui nous anime. À bientôt !

Salon de coiffure et de beauté, les trucs et astuces !

Salon de coiffure et de beauté, les trucs et astuces !

Ce guide, élaboré par Monique Large, (agence Pollen Trendconsulting) est un beau concentré de “green beauty” ou comment concilier environnement et beauté chez les professionnels du secteur. Chacun peut se l’approprier à titre individuel et pourquoi pas le recommander à son salon préféré ! Déclic Écologique a participer au contenu.

Vous pouvez le télécharger ici.

Vous y trouverez plein d’idées et de bonnes pratiques, par exemple :
Utiliser des ciseaux plutôt qu’une tondeuse semble avoir un impact infime et pourtant : une tondeuse consomme tout d’abord de l’électricité pour fonctionner mais surtout, il faut la fabriquer. Cela demande beaucoup plus de ressources pour cette opération (cf l’article sur le sac à dos écologique d’un produit) : du plastique (donc du pétrole), des métaux classiques (acier, cuivre…), des métaux rares pour l’électronique, véritable gouffre écologique de notre société, du papier et du carton donc des arbres, de l’eau, beaucoup d’eau… Il faut compter aussi les multiples transports des différentes pièces fabriquées aux 4 coins du monde.
Et en fin de vie, cet appareil ne sera pas recyclé à 100%.

Électronique VS manuel

Certes, une paire de ciseaux nécessite du métal pour sa fabrication. Mais cette phase est simplifiée par la nature du produit. Sa fin de vie se fait aisément car son matériau est totalement recyclable et sans désossement.
Quant à l’usage, elle fonctionne à l’huile de coude… Et je vais vous donner mon avis, c’est tellement plus agréable que le bruit de la tondeuse !

Un guide qui ouvre tous les possibles et qui montre comment chaque profession a son rôle à jouer dans la transition écologique.