Les représentants du personnel, nouveaux leviers d’accélération de la transition écologique des entreprises

Les représentants du personnel, nouveaux leviers d’accélération de la transition écologique des entreprises

Par Mathilde DESPAX
Gate 17 

On distingue deux instances de représentation des salarié·es dans l’entreprise : les représentants syndicaux et les élus du personnel (les membres du Comité social et économique (CSE), anciens comités d’entreprise). Ces deux types d’insistance sont les acteurs du dialogue social d’entreprise et portent la voix des salarié·es auprès de leur direction.

Ils sont investis par la loi de prérogatives économiques et sociales, mais leurs échanges avec la direction se développent fortement depuis quelques années sur des sujets relatifs à la transition écologique.

Car la prise de conscience climatique croissante génère la remise en question de l’existence de certains métiers, de nouvelles attentes des salarié·es, le besoin de cohérence de leur vie personnelle et professionnelle ou la nécessité d’une réorientation profonde des activités d’entreprises intrinsèquement polluantes, et donc vouées à se transformer (Transport, Énergies fossiles, conception de produits plastique…).

Le GATE 17 accompagne et forme ces acteurs pour favoriser leur légitimité dans les échanges qu’ils souhaitent mener avec leur direction ou la mise en œuvre d’initiatives de sensibilisation auprès de l’ensemble des salarié·es qu’ils représentent (alternatives de voyages, cartes cadeaux responsables ou encore ateliers participatifs pour développer ses connaissances en matière de RSE).

Management : motiver vos collaborateur.trice.s sur la transition écologique en les impliquant

Management : motiver vos collaborateur.trice.s sur la transition écologique en les impliquant

Toutes les entreprises, les organisations prennent aujourd’hui part à la transition écologique en réduisant leur impact, voire en ayant un effet environnemental positif. Le type de management peut faire la différence car il est nécessaire d’emmener les équipes avec une vision, et pourquoi pas une mission.

Tristan Duhamel
Fondateur de Déclic Écologique

Les mobilisations pour le climat nous montrent à quel point certain.e.s sont en quête de sens. Autant de personnes qui vont être des relais et des têtes de pont pour le groupe. Il est donc judicieux de faire participer les équipes. 

Alors comment stimuler les salarié.e.s ? 

Les méthodes d’intelligence collective permettent de faire émerger les solutions propres à la structure. Les salarié.e.s sont les mieux placé.e.s pour détecter les pistes d’améliorations écologiques des processus car ils connaissent leur métier, leur service. Ils deviennent ainsi acteur.trice.s de ces nouvelles pratiques et par là-même motivé.e.s pour appliquer ces évolutions et ces changements tant structurels (réglages, équipements…) que comportementaux (éco-gestes). 

Un exemple : dans une entreprise qui organise 100 conférences par an, 12 bouteilles en plastiques étaient entamées et gâchées à chaque fois soit 1 200 bouteilles par an. La personne qui gérait l’eau ne savait pas comment s’y prendre pour éviter le plastique et cela provoquait des tensions en interne avec celles et ceux qui voulaient voir disparaître cette pratique néfaste. Pendant une séance de co-construction avec toute l’équipe, plusieurs idées ont pris corps et la solution retenue a été d’installer un petit évier dans un local attenant puis d’acheter des carafes. Des collègues ont proposé leur aide les jours J. Résultat, des tensions transformées en cohésion, un gain écologique et enfin un gain financier de 600€ dès la 2e année.

Il est possible d’aligner les planètes pour le bien de la nôtre. Un processus qui va créer du team building et insuffler une énergie nouvelle autour d’une problématique bien actuelle. Quoi de mieux pour mobiliser autour d’une cause noble et incontournable qui va renforcer l’attachement de chacun à son entreprise.

Préparons la semaine du développement durable

Préparons la semaine du développement durable

Nous sommes toujours dans une période bien particulière où il est difficile de faire des plans sur la comète. Que nous puissions organiser ou pas des temps de sensibilisation, de co-construction, notre planète, elle, aura besoin que l’on pense à elle. La journée de la terre sera cette année le vendredi 22 avril 2022, la Journée Mondiale de l’environnement 2022 sera le dimanche 5 juin 2022 et la semaine du développement durable se déroulera du 25 Septembre au 2 octobre 2022 (à confirmer car elle à glissée de mai/juin à septembre à cause du confinement 2020). Florilège des actions que nous pouvons mener ensemble.

Conférences

• Le zéro déchet à la maison
Le zéro déchet, un mode de vie vertueux et économique.
• Le zéro déchet au bureau
Le numérique : le dématérialisé n’a rien d’immatériel, adopter comment les bonnes pratiques
Le papier : de fortes marges d’économie ; les fournitures : trucs et astuces, les repas…
• Les écogestes au bureau, à destination des salarié.e.s : l’aspect comportemental
• Les éco-actions structurelles dans l’entreprise, à destination des décideur.e.s
(direction, RSE, QSE, DSI, services généraux…)

Le voyage dans la poubelle

Pendant une heure, une expérience ludique zéro déchet nous conduit à ausculter le contenu de notre poubelle type à la maison et au bureau, et à chercher comment entrer dans une logique de durable.
Cette animation peut se dérouler auprès d’un public captif comme auprès un public mobile comme dans une cafétéria. Elle est disponible en visio ou en présentiel.

L’écolo quizz

Les participants sont répartis en deux groupes qui vont s’affronter. Cette animation ludique et bienveillante propose des questions sur les déchets, l’environnement, la nourriture, l’énergie, etc. Exemples :
• Quelle est la proportion en % des biodéchets dans la poubelle ménagère moyenne ?
• Le logo « Eco-emballage » signifie-t-il qu’on achète un produit recyclable ?
• Combien faut-il de litres d’eau pour fabriquer un jeans ?

Ateliers Do It Yourself

DIY : nous allons apprendre à faire, à fabriquer ensemble, tout en apprenant des notions autour du zéro déchet. Chaque participant repartira avec un échantillon.

DIY • Le bee’s wrap, le couvercle zéro déchet de la cuisine

Fini le film étirable… et jetable ! Bees wrap, de l’anglais bee – abeille, et wrap – envelopper, un simple tissu que nous allons enduire de cire d’abeille en la faisant fondre.
Il deviendra un couvercle de la taille souhaitée ou un étui pour conserver les aliments.

DIY • Mon beau carnet personnalisé en recyclé

Créons de beaux carnets avec du papier de brouillon et d’anciennes couvertures rigides. Chacun personnalise ensuite le sien avec des collages pour lesquels nous les guidons.

DIY • Des paquets-cadeaux originaux, en récup et pliage

Concoctons des paquets-cadeaux en papier journal graphique avec des jeux de plis.

DIY • Le fameux Furoshiki

Emballons vos cadeaux à la manière japonaise avec un morceau de tissus et de multiples possibilités de pliage. Il resservira indéfiniment !

DIY • Le pesto zéro déchet

Cuisinons des verdures défraîchies, des fanes de radis ou de carottes pour en faire un pesto savoureux antigaspi à déguster ensemble.

 

DIY • maroquinerie

Réalisons des objets avec des chutes de cuir 100% récup et sans couture.
• l’atelier Porte-clé
• le vide-poche en cuir naturel
• la petite maroquinerie

 

DIY • la lessive au savon de Marseille
DIY • le déodorant huile de coco
DIY • le dentifrice menthe poivrée
DIY • la vaisselle sans plastique ni toxique
DIY • le fameux tawashi
DIY • la poudre lave-vaisselle

Les carnets en brouillon et collage
Les paquets-cadeaux en récup et pliage
Les paquets-cadeaux en furoshiki
Le pesto zéro déchet et antigaspi

À la carte :
un moment de cohésion d’équipe

 Nous sommes à votre disposition pour inventer et organiser le team building de vos rêves qui a du sens. Par exemple :

Une journée autour du zéro déchet avec concours en équipes de construction de miniserres pour les écoles (cf journée réalisée pour Yves Rocher, 40 personnes)

Un déjeuner festif zéro déchet avec des ateliers l’après-midi (cf déjeuner réalisé pour le Médiateur National de l’Énergie, 40 personnes)

Une journée ludique et enrichissante de séminaire avec 60 personnes (en cours)

• Une matinée de séminaire avec petit déjeuner de produits sélectionnés (local, bio, durable) et grand remue-méninge (cf matinée réalisée pour Yves Rocher, 20 personnes)

Le mini salon zéro déchet

Nous vous proposons plusieurs stands inspirants (de 2 heures à une journée) à choisir parmi les animations et DIY ci-dessous.
Une exposition composée de 6 panneaux explique certaines problématiques environnementales et leurs solutions.
Les participant.e.s peuvent butiner des informations et s’inscrire à l’un ou l’autre des ateliers :
• pratiquer un jeu sur le développement durable
• participer à un atelier DIY (apprenez à le faire vous-même) : dentifrice, déodorant, bee’s wrap, lessive, carnet créatif, up-cycling…
• apprendre la cuisine zéro déchet
• assister à un voyage dans la poubelle
Vous choisirez le nombre de stands selon le nombre de participants attendus.

Innover, élaborer des concepts, et créer de l’interaction avec nos publics pour essaimer cette fameuse transition écologique, voilà ce qui nous anime. À bientôt !

Salon de coiffure et de beauté, les trucs et astuces !

Salon de coiffure et de beauté, les trucs et astuces !

Ce guide, élaboré par Monique Large, (agence Pollen Trendconsulting) est un beau concentré de “green beauty” ou comment concilier environnement et beauté chez les professionnels du secteur. Chacun peut se l’approprier à titre individuel et pourquoi pas le recommander à son salon préféré ! Déclic Écologique a participer au contenu.

Vous pouvez le télécharger ici.

Vous y trouverez plein d’idées et de bonnes pratiques, par exemple :
Utiliser des ciseaux plutôt qu’une tondeuse semble avoir un impact infime et pourtant : une tondeuse consomme tout d’abord de l’électricité pour fonctionner mais surtout, il faut la fabriquer. Cela demande beaucoup plus de ressources pour cette opération (cf l’article sur le sac à dos écologique d’un produit) : du plastique (donc du pétrole), des métaux classiques (acier, cuivre…), des métaux rares pour l’électronique, véritable gouffre écologique de notre société, du papier et du carton donc des arbres, de l’eau, beaucoup d’eau… Il faut compter aussi les multiples transports des différentes pièces fabriquées aux 4 coins du monde.
Et en fin de vie, cet appareil ne sera pas recyclé à 100%.

Électronique VS manuel

Certes, une paire de ciseaux nécessite du métal pour sa fabrication. Mais cette phase est simplifiée par la nature du produit. Sa fin de vie se fait aisément car son matériau est totalement recyclable et sans désossement.
Quant à l’usage, elle fonctionne à l’huile de coude… Et je vais vous donner mon avis, c’est tellement plus agréable que le bruit de la tondeuse !

Un guide qui ouvre tous les possibles et qui montre comment chaque profession a son rôle à jouer dans la transition écologique.

7 points pour améliorer le résultat de l’entreprise grâce à la transition écologique

7 points pour améliorer le résultat de l’entreprise grâce à la transition écologique

Parmi les premiers freins identifiés pour accélérer la transition écologique, les entreprises citent le budget. Elles redoutent d’importants engagements financiers accompagnés d’une réduction des marges. Pourtant, l’Ademe* soutient que l’éco-conception permet d’obtenir des gains de business de 7 à 18%. Réduire la consommation d’énergie, d’eau et choisir le chemin du zéro déchet promet des économies majeures.

Tristan Duhamel
Fondateur de Déclic Écologique

Des marges (d’amélioration)… à la marge ?

Ces pistes semblent diffuses et impalpables pour les décideurs.e.s et les services généraux. Or le potentiel du zéro déchet et de l’économie circulaire est en réalité considérable… Ce sont des économies de niche, diverses et qui paraissent insignifiantes alors qu’elles produisent des économies d’échelle qui vont améliorer le résultat de l’entreprise, permettre des gains directs soit améliorer l’Ebitda**.

 

Mais au fait, qu’appelle-t-on le « zéro déchet » ?

Le principe n’est pas de savoir ce que l’on fait de nos déchets – ils finiront de toute façon incinérés ou enfouis et provoqueront des pollutions de l’air, de la terre et de l’eau… Il s’agit de les réduire à la source c’est-à-dire d’éviter de les produire. C’est de plus en plus connu, le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas ! Quant à l’économie circulaire, elle s’oppose à l’économie linéaire dont l’exutoire d’un produit en bout de chaîne est le déchet.

 

Papiers, s’il vous plaît !

On pense tout de suite au papier, particulièrement dans les bureaux. Sur les 120/140 kg de déchets annuels par salarié.e.s, on compte 80% de papier dont seuls 25% seront recyclés***. Il ne s’agit pas de remplacer le papier par le numérique qui n’a rien d’immatériel : les ordinateurs, réseaux, serveurs, machines sont bien réels et consomment beaucoup d’énergie de la fabrication à l’usage.

Pour réduire le papier, on commence par réduire le nombre d’imprimantes. Une seule pour le service, deux, trois ? Tout dépend du nombre de personnes et du volume nécessaire. Premier changement : au lieu d’acheter sa machine, l’entreprise va la louer et payer les copies, adoptant ainsi le principe de l’économie de la fonctionnalité (ou de l’usage). Exemple : les vélos en libre service. C’est déjà du gagnant/gagnant/gagnant !

1er • le client a une machine à sa disposition en état de marche et entretenue de manière préventive plutôt que curative.
2ele fournisseur a tout intérêt à ce que son imprimante fonctionne au mieux et le plus longtemps possible, tout en se montrant réactif pour intervenir en cas de panne.
3e • l’environnement est épargné car une seule machine robuste qui dure limite son impact négatif. cf article sur le sac à dos écologique.

Les actions

  • La réduction du nombre d’imprimantes oblige les personnes à se déplacer au copieur pour récupérer leurs impressions, ce qui réduit automatiquement la demande.
  • Si l’on utilise un système de code pour accéder à ses copies (via le réseau interne), cela signifie que chacun peut annuler les copies inutiles, validées trop vite. La machine pouvant comptabiliser ces copies évitées, vous aurez un aperçu des gains réalisés.
  • L’imprimante doit être configurée en impression recto-verso par défaut et en noir et blanc.
  • Dans certains cas, on peut même imprimer à raison de 2 p. réduites par recto : on divise par 4 sa consommation de papier (exemple : un contrat à 6 exemplaires : 1er exemplaire en A4 R°V° pour la bonne lisibilité, les suivants à 2p. par A4, R°V° = diminution par 4 du papier et par 2 du toner).
  • Au final, on réduit la consommation de papier, de toner, d’électricité, d’entretien de la machine, de commandes de fourniture, de livraison, de manutention, de temps perdu dans toutes les étapes citées : de belles économies en perspective !

Estimation

1 carton de 5 ramettes : 14 €HT x 200 =  2800 € par an pour 100 personnes
Divisé d’un tiers = 933 €
4 recharges toner couleur évitées (pack) : 260 €
2 toners noirs évités : 55 x2 =110 €
économie = 1303 €
gains en électricité et ETP non évalués.
2 livraisons évitées : en général, la livraison est offerte, c’est donc une économie de CO2.

 

Ordi, mon bel ordi !

Le papier, bien que très visible, n’est que la partie émergée de l’iceberg.
Plutôt que de changer le parc informatique, il s’agit de le faire évoluer, c’est-à-dire « l’agrader ». Les utilisateurs n’aiment d’ailleurs pas changer d’ordinateur ou de smartphone, perdant habitudes et données au passage alors, profitons-en ! On peut les faire réparer, on peut changer un disque dur pour un disque plus rapide (SDD par exemple)… C’est à la fois économique et écologique car la construction d’un appareil numérique est l’étape la plus polluante – environ 60 à 70% de son impact global. La construction d’un ordinateur nécessite entre 1 et 3 tonnes de matières : matériaux, eau, pétrole (dont les fameuses terres rares aux conditions d’extractions déplorables).
L’achat de matériel reconditionné évite lui aussi la « dépense » d’un nouveau sac à dos écologique. Bon nombre de marques proposent des appareils vérifiés, remis à neuf et vendus avec une garantie. C’est économique pour l’entreprise et cela permet de développer des ateliers de réparation sur le territoire national.

 

Écris-moi !

On peut également réaliser des économies sur l’achat des fournitures en évaluant les besoins réels et en choisissant des produits plus vertueux, rechargeables ou/et en plastique recyclé. Le stylo plume ou bille rechargeable peut redonner le plaisir d’écrire… avec un bel objet ! Le marqueur aussi se fait recyclé et rechargeable.

 

L’énergie, un levier important d’économie

Beaucoup d’imprimantes restent allumées en permanence. Les plus gourmandes sont les laser qui possèdent un four qui cuit le toner. Il faut donc les paramétrer durant la journée en mode veille après 1 minute d’inactivité par exemple. La différence de consommation est énorme : pour une petite imprimante laser, on passe de 6 W en veille à 300 W en marche, pour une jet d’encre, de 5 à 22 W. Pour un gros copieur recto-verso couleur, de 50 W pour les plus économes à 650 W ! ***

Fini, les poissons sur l’écran

Historiquement, les économiseurs d’écran économisaient… l’écran, mais ce n’était vrai que sur les anciennes générations et ils consomment beaucoup d’électricité. Il suffit de passer la main au dessus de l’écran pour sentir la chaleur qui s’en dégage. L’écran et l’ordinateur disposent de 3 modes : arrêt, veille, actif.Selon le type d’ordinateur, cela peut aller pour un petit portable de 4 W à l’arrêt ou en veille et jusqu’à 15 W en mode actif. Même en mode arrêt, certains éléments du PC comme la carte mère restent sous tension et continuent à dissiper de la puissance.
Une grosse station de travail peut, quant à elle, consommer 15 W éteint, 40 W en veille et 200 W en mode actif.****
Ces appareils doivent donc être paramétrés en mode veille ou être éteint et même débranchés, lors d’inactivité prolongée.

 

Minuterie, siouplaît !

Les détecteurs de mouvements permettent d’éclairer les parties communes (couloirs, WC, espace café/cuisine…) uniquement lorsqu’une présence est détectée. Attention toutefois à les positionner de façon à ce que des passages intempestifs ne les déclenchent pas inutilement. Par exemple, dans les toilettes, le disposer au dessus de la porte de manière à ce que seule, la pièce concernée s’allume plutôt que l’ensemble des cabines de WC.

 

En voiture Simone !

Le déménagement est également un moment clé pour limiter l’impact environnemental de l’entreprise. Il faut anticiper pour le mener à bien, penser à la revente, au don ou à la réutilisation de matériel. Idem pour l’emménagement, bonne occasion pour repenser les process et les adapter.

Voici quelques exemples parmi tant d’autres qui demandent un peu de méthode pour être mis en œuvre. Les bénéfices sont multiples pour l’entreprise, y compris sur le plan économique. Cela répond également à la quête de sens qui gagne aujourd’hui les actifs de façon transgénérationnelle. Encore une piste pour améliorer l’image de l’entreprise.
Quand à nous, Déclic Écologique, nous recommandons de réfléchir avec les équipes (tiens ! C’est ce que l’on fait 😉 pour trouver des solutions ensemble et leur donner un rôle moteur de cette transition écologique que beaucoup attendent !

 

*Ademe : Agence (d’Etat) de l’environnement et de la maîtrise des énergies
**L’EBITDA indique la situation de l’entreprise une fois que toutes les charges ont été payées.
***Source Ademe
****Source Energy star